Balades du 20 septembre 2016 au 22 mai 2018

Ce mardi 3 avril, nous étions 15 baladeurs malgré le temps maussade.

Nous avons donc modifié le programme et  effectué une balade de 9 km sur les hauteurs de Saint-Georges.

Merci à tous pour votre participation….et à bientôt… cette fois avec le soleil.

Maguy VALDEYRON

 

Balade du 27 février 2018 – Murles – Animatrices : Maguy VALDEYRON et Brigitte GUIGNON

PHOTOS Martine et  Marc DENEVE

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Balade du 20 février 2018 – Aumelas – Animateurs : Huguette JEAN et Jacques DOUGADOS

En arrivant sur le Causse d’Aumelas, une petite bise nous a surpris.

Aussi c’est d’un pas rapide que nous nous sommes dirigés vers la chapelle romane de ST Martin du Cardonnet dont le clocher à double arcade semblait nous appeler.

Cette église, encore bien conservée, a été classée monument historique en 1989. Elle a été depuis, l’objet de plusieurs chantiers de restauration.

Après en avoir fait le tour, nous sommes allés à la mare de l’Estagnol. Malgré un timide rayon de soleil, personne n’a voulu se baigner…La descente sur  Combe-Rousse nous a offert de superbes vues sur la côte de Villeneuve-lès-Maguelone jusqu’à Port Camargue et au loin les neiges du Ventoux.

Huguette JEAN

PHOTOS Martine et  Marc DENEVE

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Balade du 30 janvier 2018 – Cournonsec – Animateurs : Huguette JEAN et Jacques DOUGADOS

Avec un temps  splendide nous avons arpenté le vignoble  Cournonsecois. Guidés par les  membres de l’association <Cournonsec>>, nous avons découvert le travail réalisé pour restaurer le petit patrimoine épars dans les vignes.

D’abord, un lavoir utilisé  jusqu’en 1962, date à laquelle l’eau courante est arrivée à Cournonsec. Il s’agit de 4 piles qui recueillaient l’eau d’une source aujourd’hui bouchée ou captée par les forages effectués dans les jardins situés au-dessus.

Ensuite, plusieurs  capitelles, toutes différentes. Ces cabanes  avec voûtes en encorbellement sont construites en pierres sèches, sans liant. Elles abritaient  le paysan qui travaillait aux champs ainsi que ses outils. La technique de construction est très ancienne et se transmet de génération en génération. L’association > a fait appel à l’association <> de Villeveyrac pour les initier.

Utilisant ce qui se trouve sur place nous en avons vu deux construites dans des anfractuosités du sol. Dans l’une d’elle un foyer avec ouverture sur le toit était prévu… Près d’une autre, sous un figuier se cachait un puits.

Notre balade s’est terminée par la découverte des Pradinaux et son majestueux platane. Bien nettoyé ce petit lac est très accueillant.

Autrefois,  la plaine était couverte d’étangs. Au Moyen-Age les moines de Grémian les ont asséchés par un système de canaux reliés à cette cuvette. Plus loin, la Terrasse est encore en travaux.

Un grand merci à l’association <<il était une fois Cournonsec>>  pour les restaurations réalisées, leur gentillesse et leur disponibilité pour nous les faire découvrir.

Huguette JEAN

PHOTOS Marc DENEVE

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Balade du 16 janvier 2018 – Animatrices : Maguy VALDEYRON et Brigitte GUIGNON

En ce mardi, le soleil au rendez-vous,  nous étions 36 baladeurs sur les chemins autour de Saint-Georges, Pignan et Murviel.

Pour ce début d’année 2018 ce parcours de 9 km fût improvisé à la dernière minute en raison des fortes pluies de la veille.

M VALDEYRON

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Balade du 19 décembre 2017 – Animateur : Jacques DOUGADOS

Nous sommes partis du parking ,au bout du chemin du reclus(ancienne voie du chemin de fer) direction les QUATRE PILAS.(voir photo)

Petite montée panoramique et descente jusqu’au pont (sncf) du LASSEDERON.

Remontée vers la citerne verte et retour  par un sentier au milieu des chênes verts.

Grand soleil pas de vent (6km5)  pour les 20 baladeurs-euses ,la dernière balade de l’année.

BONNES FÊTES DE FIN D’ANNÉE

Jacques DOUGADOS

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Balade du 21 novembre 2017 – « Saint Bauzille de la Sylve » – Animatrice : Huguette Jean

Du parking de la mairie nous nous sommes dirigés vers le petit bois.

Après l’avoir traversé, nous nous sommes arrêtés à la chapelle dédiée à Saint Antoine.

Puis, nous avons gravi la colline jusqu’à la tour du télégraphe de Chappe dominant à 218 mètres…

Cette tour construite en 1834 un moyen de communication au service de l’Etat.

Elle fonctionna jusqu’en 1853. Il en existait alors plus de 500 distantes de 10 à 20 kilomètres. Elles quadrillaient tout le territoire. Elle a été restaurée en 2010-2011.

Avant de redescendre sur Saint Bauzille nous avons admiré le panorama depuis l’aire de pique – nique.  La descente, malgré une légère brume, est magnifique . A cette époque les vignes de toutes les couleurs forment une superbe mosaïque .

La balade prévue pour 2h30 fut effectuée en 2h.  Bravo les baladeurs !

Huguette JEAN

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Balade du 31 octobre 2017 – « Bois des Aresquiers et Etang de Vic-La-Gardiole » – Animatrices : Brigitte GUIGNON et Maguy VALDEYRON

« Retour provisoire ou…….pas auprès des baladeurs du Mardi, j’étais très heureuse de retrouver toute cette fine équipe les anciens et faire connaissance des nouveaux pour partager de bons moments comme autrefois.

Très belle balade menée par Brigitte Guignon et Maguy Valdeyron, nous étions 26 au départ et 27 en cours de route, un certain Roger,inconnu de la Màs, s’était greffé au groupe, a disparu, puis réapparu et complètement disparu……

Balade de 7kms5 entre Bois des Aresquiers et Etang de Vic, dans un décor connu mais tellement beau sous un splendide soleil « 

Daia POIROT

Photos Daia POIROT

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Balade du 19 septembre 2017 autour d’Argelliers – Animatrice : Maguy VALDEYRON

Aquarelle de Frédéric Vassal.

Maguy VALDEYRON

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Séjour Meyrueis du 20 au 22 juin 2017 – Animatrice Huguette JEAN

Pour clôturer cette riche année 2017, Huguette et Gérard Jean nous avons invités à partager

 l’ histoire, les traditions et la  beauté d’ une région :  Meyrueis et le causse ( la localité est  située entre les contreforts du mont Aigoual, au sud ; et le causse Méjean, au nord)

Ainsi le 20  juin nous voilà parti, nous avons pris la route vers ce beau massif de  l’ Aigoual dont le reboisement est le  fruit du travail passionné de deux hommes le forestier Georges Fabre et le botaniste Charles Flahault  (1861). Au sommet de ce massif, à tous les vents, l’Observatoire  » le gardien des nuages » (construit entre 1887 et 1894) et son riche  musée météorologique , puis nous poursuivons vers le Bonheur.

Oui le Bonheur,  cette petite rivière  qui prend sa source près du mont Aigoual. Elle est à l’origine du site classé de l’abîme de Bramabiau

Le lac de Saint-Sauveur Camprieu (Cam del Rieu : plateau entre deux rivières) en amont du village a été aménagé.

Inutile de dire que nous avions le lieu idéal pour un convivial pique-nique.

Pour la mise en jambe une marche en forêt.

Le chemin « des morts » fît l’affaire malgré son bien triste nom (il n’y avait  pas de cimetière à Camprieu les habitants étaient obligés de  porter leurs défunts jusqu’au hameau de Saint-Sauveur);

En fait  il sillonne à travers  l’arboretum, » le sentier des arbres » et débouche sur le hameau de Saint Sauveur des  Pourcils, dans écrin de verdure

Puis ce fut le retour vers la vallée.

Après un bon petit repas, pour cette première soirée en Cévennes un privilège nous attendait. La visite nocturne de Meyrueis, pour nous seuls, en cette nuit d’été les portes des monuments se sont ouvertes.

Meyrueis cette bourgade protestante entre causse et Cévennes s’offrait à nous.

Ainsi nous avons parcouru les rues de la ville à l’écoute de Philippe Chambon historien passionné traversant le temps, de l’époque gallo-romaine à nos jours.

En premier lieu Philippe Chambon nous explique son étymologie : la plus probable de Meyrueis provient certainement de la situation de la ville au confluent de plusieurs cours d’eau : la Jonte, le Béthuzon et la Brèze. En occitan, Meyrueis signifierait ainsi « mélange de cours d’eau », de mesclar (mélanger) + rius (cours d’eau). On trouve aussi parfois la variante latine Midiis riviis, « au milieu des ruisseaux ». D’autres versions, moins fréquentes, évoquent la nature de ses sols (Marogium, « lieu marécageux ») ou un ancien propriétaire gallo-romain (Maurus).

 Meyrueis possède un riche patrimoine  historique et industriel que  nous avons pu apprécier entre autre :

• Les vestiges des fortifications, ses portes et la tour de l’Horloge, le château de Roquedols
• Le Temple protestant et l’Eglise Saint-Pierre témoins de ses guerres de religions en terre cévenole,
• Maisons et hôtels particuliers entre autre l’hôtel Pagès de Pourcarès-Belon, dit la « maison du Viguier », avec plusieurs fenêtres à meneaux remarquables,
• Filature Vincent (filature de déchets de soie et de laine)
• Clouterie Malzac
• Moulin Berger
• Chapellerie Veyrier (usine de chapellerie de feutre)

Sachant que j’ai été beaucoup trop brève pour décrire cette terre chargée d’histoire, de passion, de traditions, Meyrueis vous invite 23 septembre 2017 pour la « Saint Michel  » l’une des plus ancienne foire (XIIIe siècle) .

C’est chez Huguette et Gérard  que cette  journée s’est achevée en toute bonne humeur…

La suite de notre séjour nous a permis d’apprécier plusieurs sites, entre autres : Nîmes-le Vieux sur le Causse Méjean, où nous entrons dans un immense chaos de rochers dolomitiques aux formes étranges.

Et puis au milieu de ce paysage   …Une retenue d’eau collinaire.(voir Photo)

Il y eu aussi une excursion sur le Causse Noir avec visite de l’abbaye de Saint-Jean de Balmes, les vues magnifiques sur les gorges de la Jonte…. .

Que dire de plus  un grand merci : à Huguette et Gérard pour tout ce temps consacré à préparer et à animer ce séjour, à Philippe Chambon notre historien, aux marcheurs plus aguerris qui se sont joints spontanément à notre petit groupe.

Que  souhaiter de plus :  un retour en force pour la saison future de nos baladeurs fatigués en cette fin d’ année, et peut- être, …quelques regrets pour les « lâcheurs » de dernière minute.

A bientôt sur les chemins Bonnes vacances à tous. Maguy VALDEYRON

Photos Roselyne BRISSET et Maguy VALDEYRON

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Balade du 9 mai 2017 autour de l’Etang du Méjean à Lattes- Animatrice Brigitte GUIGNON

C’est une bien agréable ballade que nous avons faite cet après-midi autour de l’étang du Méjean. Conduite de main de maître par notre amie Brigitte. 8 kilomètres quand même, que nous avons été 23 à parcourir dans ce site préservé, tout entier dédié à l’observation de la nature.

En arrivant à la Maison de la Nature, d’emblée le ton est donné par une vue spectaculaire sur un nid de cigognes, assemblé bec et ongles sur un mat prévu à cet effet. Un couple virevolte, va et vient et se pose pour surveiller à tour de rôle ses bébés. Ils vont même s’accoupler sous nos yeux dans un grand battement d’ailes, ignorant que leurs ébats sont filmés par des caméras et diffusés  sur grand écran à l’intérieur du bâtiment .
Il doit y avoir cinq ou six couples de cigognes qui se sont sédentarisés dans ce havre de paix, peut-être plus.

Sur le sentier du Méjean, tout est conçu et aménagé pour l’agrément du visiteur. Sur la première partie du parcours, nous cheminons sur une passerelle en bois de très bonne facture qui surplombe un paysage lacustre, à l’image des parcs nationaux canadiens. De loin en loin, de grands panneaux indicateurs viennent à point nommé nous renseigner avec force détails sur la  faune et la flore locales.

Des tamaris en fleurs jalonnent le parcours, tandis que roseaux, prêles et iris jaunes foisonnent dans les zones humides.

De jolies structures en osier tressé rehaussent le tableau et des ouvertures permettent d’observer les oiseaux en toute discrétion. Et des oiseaux, nous en verrons : des flamants roses, de grands hérons cendrés, des petites aigrettes blanches, des canards colverts et même un cygne solitaire qui glisse au fil de l’eau,  venant d’on ne sait où.

Nous assistons aussi au spectacle touchant de magnifiques chevaux camarguais qui courent en liberté avec des poulains jouant près de leur mère. Bref, la nature comme on l’aime.

Mais sur la terre ferme comme sur la lagune, le vrai maître des lieux, qu’on l’aime ou le déteste, est sans conteste le ragondin qui est omniprésent. Avec son allure débonnaire, sa démarche nonchalante et ses moustaches de chat, il semble ne prêter aucune attention à notre bruyante cohorte et vaque à ses occupations en nous snobant complètement. Du patriarche imposant aux petits qui grignotent les herbes sur notre passage, les ragondins  nous accompagneront tout au long du chemin et se prêteront comme des starlettes aux séances photos.

Nous voici déjà de retour à la Maison de la Nature, survolés par le ballet incessant des cigognes. Au total, ces 8 km seront  passés très vite dans un environnement aussi poétique. Un grand merci à Brigitte pour cette balade sympa autant qu’originale.

A renouveler l’an prochain. Je signe des deux mains! Christian Toulza

Merci à Martine et à Sim pour leurs superbes clichés.

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La légende raconte qu’un jeune moinillon ermite, oublié là-haut dans une période troublée par les tentatives d’invasion sarrasine, se retrouva vite assoiffé et affamé. Désespéré, il chercha le réconfort dans la prière. Vint à passer un certaine Bauzille, ancien moine écolier de Maguelone comme lui, qui se rendait à Narbonne, chargé de sel et de victuailles. Il porta secours au jeune ermite et le nourrit copieusement. Le moinillon plein de reconnaissance, fit bâtir des années plus tard la chapelle qui existe toujours et qu’il baptisa du nom de son sauveur.  Huguette JEAN

Photos Marc DENEVE

 

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Tout en Photos de Janine PARES

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Il n’y avait pas foule ce jour pour la sortie : 6 pour la balade et 6 pour la marche. Aussi un seul parcours a-t-il été proposé pour les deux groupes :

 Départ à pied de la gendarmerie, La Croix de Cade,  Murviel, Mas de Buisson et retour par le village. Tout au long du parcours Huguette Jean nous a renseignés sur l’historique des lieux : captage d’eau captage d’eau, station d’épuration de Murviel, Lassédéron, Pontil… ce qui nous a fait oublier la petite pluie persistante. Suzy Duchein