Nous étions 22, ce mardi, pour profiter encore de ce bel automne printanier qui n’en finit pas. Empruntant des pistes piétonnes et cyclables, nous avons remonté le long de la plaine de Plagnol avant de bifurquer pour retrouver le bois de Saint Sauveur.
Une curiosité au cours de cette balade : la maison où l’écrivaine (comme on dit aujourd’hui !) Albertine Sarrazin a fini les derniers mois de sa courte vie (30 ans). Venue s’y ressourcer et essayer de repartir après une vie plus que mouvementée, elle y a trouvé la mort après une opération ratée à la clinique Saint Roch en 1967.
Elle est enterrée aux Matelles, mais derrière sa maison, une petite grotte a été érigée, avec une Vierge, ainsi qu’une tombe surmontée d’un astragale, ce petit os du talon qu’elle s’était brisé en s’enfuyant d’une prison et qui a été le titre de son plus grand succès de librairie.
Jean-Marie VILAIN
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